Recherche Partition Feu Nouveau F 510

Bonjour à tous,

Je recherche la Partition Feu Nouveau F 510 pour la messe de minuit ce soir...
Je pensais l'avoir mais ce n'est pas le bon air...
Si quelqu'un l'a s'il vous plait, on ne sait jamais...

En vous remerciant par avance.

Joyeux Noël à tous !

Guénolé

http://www.chantonseneglise.fr/chant.php?chant=461

C'est pô gratos.  

Sinon, il faut le retranscrire de ça:

https://youtu.be/SY5-r8JhL4k

Il n'y a vraiment que le lapin crétin sur le piano pour ne pas fuir devant tant de médiocrité, mais ça c'est mon avis.

(Faut pas trop que je dise, parce-que quand je vais découvrir le programme ce soir au SC, je risque de déchanter!)   

Bonsoir,

Je n'ai pas eu de temps de vous remercier hier...

Pour finir j'ai écouté la vidéo et entre temps j'ai pu récupérer le refrain transcrit. En ayant l'air en tête j'ai essayé de transcrire les couplets. Ce que j'ai écrit ne doit pas être très juste mais au moins cela a pu me donner des repères.
Bien entendu j'ai eu le morceau de partition 15 min avant la messe... Tout juste assez de temps.

Hum je me me permettrais pas de donner un avis sur la médiocrité de jeu de quelqu'un...
Je ne saurai pas en faire autant... Je pense que la petite vidéo que j'ai mise récemment reflète bien cela...

Vous découvrez votre programme de jour même ? Mais comment faites-vous s'il vous manque une partition ou si vous ne connaissez pas du tout le morceau? S'il est trop haut ?
Déjà en l'ayant la veille parfois ce n'est pas facile me concernant.

Quand j'ai commencé le prêtre était musicien, il écrivait tout à la main et j'avais toutes les partitions nécessaires.
Un temps révolu...

Bonne soirée

Guénolé

Guénolé a écrit:

Vous découvrez votre programme de jour même ? Mais comment faites-vous s'il vous manque une partition ou si vous ne connaissez pas du tout le morceau? S'il est trop haut ?

C'est souvent la "démerde". Pour tous ceux dont la partition fait défaut, avec un peu de chance, je le connais: 30 ans de pompe à messe, on finit par en connaitre un paquet. Il arrive parfois que ce soit un morceau totalement inconnu, et qu'il n'y ait pas de partition. Deux solutions: soit l'animateur (animateuse) le connait et est capable de me le fredonner, auquel cas je le retranscris vite fait, soit absolument personne ne le connait et on en prend un autre qui fait consensus.

Pour la hauteur des chants c'est souvent moi qui décide, suivant la personne qui anime, la chorale qui est présente, la température qui fait varier le diapason de l'orgue, la longueur des notes hautes. Mes limites hautes sont en général le ré 4 en hiver, le do#4 en été sur des notes longues. Pour les notes de passage, brèves donc moins sujettes au déraillement durable, c'est un demi-ton plus haut.

La limite pour le bas, c'est le LA2, exceptionnellement le SOL#2 en été.

Si le chant n'entre pas dans ces limites, il est transposé. Quand il y a une chorale, je demande au chef de choeur (à la cheftaine de choeur) si il (elle) y voit un inconvénient. Il s'agit de ne pas mettre inutilement en difficulté les basses et les ténors si les soprani sont capables de monter au perchoir.

Je passe toujours les chants à vue, avec l'harmonie à la volée s'il n'y en a pas ou si elle est cucu comme souvent. A l'usage, la transposition ne me demande plus d'efforts particuliers. Certains sont surpris à la fin de la messe quand ils me demandent tel ou tel renseignement sur un chant et que je leur avoue que je ne sais même plus lesquels on a pris. Non Non, ce n'est pas de l'alzheimer, mais je ne me charge pas l'esprit avec ça. Les chants c'est une chose, mais il y a aussi l'entrée, la conclusion de l'homélie, l'offertoire, la communion ou l'action de grâces et la sortie à assurer, et c'est plus important, surtout quand on joue à plusieurs instrumentistes.  



 

Je vois que l'on rencontre les mêmes soucis ^^.
Simplement, certains s'en sortent mieux que d'autres.

Pour ce qui est de la transcription vite fait, je ne réserve cela qu'aux psaumes ou prières universelles. Si c'est trop long je perds un temps fou.

Pour la hauteur, je n'avais jamais pensé prendre en compte les saisons... Le diapason général de l'orgue monte alors légèrement durant les beaux jours?
Parce qu'à la tribune, je dois avoir environ 20 degrés l'été et l hiver avec le chauffage il doit au moins faire facilement 25°c.
Oui je fais aussi attention aux notes longues. Si on fait que passer généralement ça va...
J'ai un animateur qui est ténor donc il monte sans grand souci. Mais j'évite aussi d'aller au delà du Ré 4. En revanche je n'aime pas trop descendre sur la seconde octave... (une idée sans doute...).

Dans ma paroisse les chants c'est ce qu'il y a de plus fondamental... L'entrée commence par un chant, conclusion de l'homélie je ne savais même pas que ça existait   ...

Ah ça, savoir transposer à vue c'est le pied avec l'harmonie à la volée!
J'en suis à chercher les notes quand le prêtre entonne " Le seigneur soit avec vous" avant le sanctus. Certains le commencent à la cave, d'autres au grenier. Dans certaines tonalités il y a des canards surtout sur l'harmonie.

Elle est toujours aussi somptueusement chargée en dominos cette console.
Quelle concentration, tel à Capitaine au commande de son paquebot!

Bonne soirée!

Guénolé a écrit:

Je vois que l'on rencontre les mêmes soucis ^^.
Simplement, certains s'en sortent mieux que d'autres.(...)
Quelle concentration()!

Nan mais faut pas rêver, ça arrive à tout le monde de savonner. Surtout si en plus il y a une personne de chaque côté et qu'on discute comme dans le dernier salon. Pour ce qui est de la concentration, au moment du cliché (fait par un journaliste couvrant "l'évènement") il y avait au dessous un gros millier de gendarmes venus fêter leur patronne (Ste Geneviève) et une chorale invitée. ( elle est à 45 mètres de la console et pour naviguer, il n'y a que le moniteur et le retour son) Donc, oui, un peu de concentration c'est pas idiot je pense.

Pour ce qui est de s'en sortir, il n'y a pas de don particulier à avoir. Ca vient avec la pratique, plus on est "libéré des tâches ménagères" plus on a de temps pour rattrapper les bourdes. C'est comme dans l'impro. Quand on se vautre en faisant rentrer les voix d'une fugue par exemple, parce-qu'on ne pense pas à tout et qu'à la quatrième voix il y a un vieux croisement injouable, au début on fait un gros pâté, puis petit à petit on contourne le problème avec un divertissement supplémentaire avant de recommencer la manoeuvre. Un spécialiste viendra vous dire que votre fugue a eu deux mesures supplémentaires dont une "hors contexte", mais sinon personne ne pensera autre chose que la globalité de l'impro et sa construction, ce qui est effectivement le plus important. Et pour la personne qui sera montée pour vous reprocher votre jeu, confiez-lui aussitôt les claviers, pour que vous compreniez bien ce qu'il veut dire...   

Bonjour,

Pour ce qui est de discuter ça va, 99% du temps je suis seul à la tribune (et heureusement par rien de tel que quelqu'un pour que je me plante).

1000 gendarmes! Je ne savais pas que ND du SC à Dijon pouvait contenir autant de monde.
Etre à 45 mètres de la chorale, ça commence vraiment à faire beaucoup. Une question d'habitude je pense.

Hum je vois bien, il faut toujours avoir un stratagème ou autres subterfuges afin, tel un félin, de retomber toujours sur les pattes.
Généralement, ça va je n'ai jamais de reproche, sauf très rarement des animateurs qui ne chantent pas les notes inscrites pourtant sur la partition.
On vous prend un autre air, on ajoute ou retire des notes... Et ce qui me tue le plus: ne pas tenir les 4 temps d'une ronde ou trainer sur certains chants. Je regrette dans ces cas là de ne pas avoir quelques jeux supplémentaires pour les obliger à chanter au bon tempo.

Bonne journée

Guénolé a écrit:

1000 gendarmes! Je ne savais pas que ND du SC à Dijon pouvait contenir autant de monde.

Non, ce n'est pas Notre-Dame, c'est Sacré-Coeur tout court. C'est un sanctuaire diocésain (pas encore comme Paris où c'est une basilique) qui peut contenir 1500 personnes assises.

Voilà ce qu'on voit depuis l'orgue: