Malheureusement, les défections d'entreprises artisanales sont fréquentes depuis plusieurs années, tous secteurs confondus.
Je suis moi-même entrepreneur dans le second oeuvre du bâtiment. Dans ce secteur, c'est la bérézina.
Pour ce qui est de la facture d'orgue, comme dans d'autres domaines, le souci est que la restriction des marchés suppose de travailler au-delà des frontières. Après, c'est à la portée de l'entreprise ou pas. Ce n'est pas qu'une question de capitaux, celà suppose surtout de dépasser le stade du "compagnonnage", une relation affective avec les donneurs d'ordre (modèle différent du "client", car vénal et dépourvu de tout affect quant au produit final). De créer de nouveaux réseaux. Processus très long ....
Je suis confronté à cette problématique, je compatis ...