Après avoir relu le résumé de la thèse d' O.J. (l'orgue francophone n°27/28), je remarque à nouveau l'absence totale d'objectivité dans la description des instruments - mais l'objet de la thèse est l'improvisation -.
L'orgue de 1818 aurait été "un petit instrument de 9 jeux mi-orgue, mi-harmonium". En 1818, l'harmonium n''existait pas et les (5?) jeux à anches libres de Grenié-Cosyn étaient munis de résonateurs c'étaient donc bien des jeux d'orgue.
L'orgue ACC de 1872 dans la petite salle aurait eu "16 jeux" en fait, le devis d'ACC précise bien qu'il y avait 3 claviers: 16 jeux sur les deux premiers manuels et pédale et jeux expressifs au 3è clavier, le fameux jeu Erard de l'Exposition de 1827 lui aussi avec résonateurs soit un total de 17 jeux.
On se demande enfin comment on a pu se satisfaire en 1911 d'un orgue neuf de 22 jeux pour remplacer deux ACC qui en totalisaient 34