Sujets maintes fois évoqués que d'une part celui de l'accès aux instruments réels, et d'autre part delui de la dîme à reverser pour celà ...
A Escolore, je dirai qu'il me paraît indispensable de jouer de temps en temps en public, pour s'obliger à terminer les morceaux, à ne pas en rester à un patchwork sans queue ni tête.
Pour l'amateur, le contexte "concert" est peut-être trop ambitieux. C'est-là qu'accompagner des offices peut s'avérer un excellent exercice.
Celà dit, je crains que l'exprérience de Vache67 (je connaissais Route66, mais pas Vache67 ...) ne soit des plus courantes. Et celà n'a rien de spécifique au milieu liturgique. C'est plutôt caractéristique de l'associatif et du bénévolat en général.
Il faut être très vigilant à ce que l'on risque de nous demander en échange d'un service rendu (ici, l'accès à un instrument). L'abus est vite là, peut-être des deux côtés d'ailleurs .....
Pour ma part, face à ces comportements, je place de suite la barre assez haut, notamment en matière d'organisation (le point faible des associatifs, pleins de bonne volonté, mais gros bordéliques!).
On verra quand il s'agira de jouer sur un orgue véritable. Il n'empèche, cher Escolore, que l'instrument virtuel permet de travailler sans déranger quiconque, à satiété, et de ne présenter en public que des morceaux raisonnablement aboutis.
C'est aussi une marque de respect pour l'auditoire.