- clarabella a écrit:
- Ce qui est clair, c'est que vous considérez "Minuit à Notre-Dame" comme une oeuvre de l'esprit et la placez sur le même plan que celles sus-citées.
Et là, j'en reste bouche bée.
D'accord, j'ai compris, en fait vous avez décidé de ne pas comprendre.
- clarabella a écrit:
- Mieux aurait valu prendre ma remarque au premier degré, ce qui n'en faisait qu'une plaisanterie de potache plutôt que de partir sur des pentes savonnées dans le seul but de justifier un post écrit trop rapidement.
Je me demande bien qui est sur une pente savonnée (savonneuse ?) dans l'histoire. Quant au post écrit trop rapidement, vous vous posez un peu là.... car il me semble bien au contraire que j'aie effectivement pris votre remarque au premier degré (d'où mon incompréhension), et non pas avec humour ce qui aurait été alors du second degré.
Quant à votre formulation en langage "petit nègre" de votre post précédent, bien que je l'ai trouvée plutôt insultante, j'avais initialement préféré passer dessus sans faire de commentaire. Mais puisque vous croyez bon d'insister, je tiens à souligner que c'est la première fois dans mon existence qu'on me prend pour un débile profond et de façon si ouverte.
Il y a une autre chose qui m'agace franchement en la circonstance. A côté de votre plaisanterie plutôt hermétique et de l'ergotage sur la plus grande cathédrale et le plus grand orgue à prendre au sens littéral ou dans un sens symbolique, je vois que mon post a bien amusé ceux qui se complaisent à couper les cheveux en quatre, mais n'a guère suscité de réactions sur le fond.
J'aurais nettement préféré que l'on rebondisse sur ce que j'ai écrit (et non pas sur la façon dont je l'ai écrit), quitte à m'entendre dire (aves des arguments sérieux, pour changer) que je suis complètement à côté de la plaque. Ou que l'on ignore totalement ce qui a été écrit. Mais non, c'est encore trop demander.
Sans doute un travers d'internet en général et des forums en particulier, où l'on développe parfois une approche bien superficielle car trop gravée dans l'instant présent.